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Kring Clemmensen posted an update 1 month ago
in English, French Le fonctionnement vésical est commandé par les systèmes nerveux autonome et somatique situés dans la moelle épinière. Le tronc cérébral gère et coordonne leur action. Différentes zones du cerveau sont impliquées dans le contrôle volontaire du fonctionnement réflexe. Les lésions cérébrales provoquent souvent un syndrome d’hyperactivité vésicale (HAV) avec une augmentation de la fréquence mictionnelle et une urgenturie. L’incontinence urinaire, souvent présente, pourrait être liée à l’HAV et aux troubles moteurs et cognitifs associés. La rétention urinaire survient à la phase aiguë d’une lésion hémisphérique et suite aux lésions du tronc cérébral. L’identification, l’évaluation et le traitement des troubles urinaires chez les cérébrolésés nécessitent un bilan global et une gestion intégrée aux autres conséquences des lésions cérébrales.in English, French La spasticité est très fréquente après une lésion du système nerveux central, et sa prise en charge demeure difficile, car elle se combine avec d’autres symptômes caractéristiques du syndrome du motoneurone supérieur (parésie, dystonie spastique, contractures…). Afin de faciliter le choix thérapeutique, nous présentons le modèle d’une évaluation interprofessionnelle, qui démontre qu’une évaluation standardisée, une approche commune et une analyse de la marche permettent une meilleure prise en charge thérapeutique.in English, French Les patients cérébrolésés présentent souvent une fatigue pathologique qui diffère de la fatigue « normale », car elle apparaît plus rapidement, lors de tâches peu exigeantes, et ne disparaît pas complètement avec le repos. Elle limite les activités physiques et cognitives,et interfère avec la réadaptation et la reprise du travail. Les mécanismes sous-jacents, peu connus, semblent impliquer une altération des interactions cérébrales. La prise en charge actuelle combine reconditionnement physique, apprentissage de stratégies de compensation et traitement des facteurs associés ; cela favorise souvent l’amélioration clinique et la réinsertion socioprofessionnelle. L’effet reste cependant insuffisant chez certains patients, d’où l’importance de développer des thérapies se basant sur une meilleure compréhension des déficits neuronaux sous-jacents.in English, French Les troubles de la mémoire épisodique et la plainte mnésique sont fréquents après une atteinte cérébrale acquise chez l’adulte. Ces déficits peuvent se répercuter sur les activités de la vie quotidienne et l’insertion professionnelle. L’évaluation neuropsychologique examine le degré de sévérité, la nature des processus perturbés et la présence d’autres symptômes cognitifs ou affectifs associés. Les prises en charge cognitives visent principalement à diminuer l’impact des difficultés mnésiques séquellaires en vie quotidienne par l’utilisation de stratégies de compensation. Les études de réhabilitation cognitive, dont la qualité a augmenté cette dernière décennie avec un nombre croissant d’essais contrôlés randomisés, ont montré l’efficacité de certaines interventions sur différentes variables.in English, French Les lésions cérébrales sont fréquemment suivies de troubles émotionnels et comportementaux qui altèrent la qualité de vie du patient et de ses proches. Trois de ces troubles, particulièrement fréquents, sont discutés dans cet article l’apathie, l’agressivité et la dépression. Une attention particulière sera prêtée à ces symptômes, à leur gravité, ainsi qu’à leur prise en charge, leur traitement médicamenteux ou psychothérapeutique.in English, French Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) a été défini en 1994 par l’International Association for the Study of Pain (IASP). Depuis cette définition, les études concernant ce syndrome ont permis une meilleure compréhension quant aux mécanismes physiopathologiques sous-jacents, à l’épidémiologie et aux approches thérapeutiques. Le SDRC a déjà été bien décrit dans deux numéros de la Revue médicale suisse de 2014 et 2019 par F. Luthi de la Clinique romande de réadaptation (SUVACare). Le but de cet article est de rapporter les connaissances récentes sur les mécanismes neuronaux impliqués dans ce syndrome et impactant la prise en charge. Nous souhaitons sensibiliser les médecins de toutes spécialités à la reconnaissance des premiers symptômes et diffuser des conseils pratiques quant aux investigations et aux traitements.Obesity treatment is highly stigmatized, mainly because of the stigma of obesity itself. The frequent withdrawal of medications, lorcaserin being the last example, contributes to this stigma, but it is also probably a reflection of it, as data suggest that the threshold for a withdrawal is lower than with other classes of drugs. Safety should always be an absolute priority for every new medication, especially when used on a chronic basis; however, the safety scrutiny given to antiobesity medications is not given for other medications, such as postmenopausal hormone therapy and central nervous system drugs for psychiatric use. The withdrawal of medications for obesity can also impact future research in the area, so we need transparency and equality. Transparency in knowing exactly what reason led to a drug being discontinued and equality in long-term safety should be a concern with any medication prescribed for chronic diseases. © 2020 The Obesity Society.OBJECTIVE In traditional behavioral weight loss (BWL) programs, young adults fare worse than older adults with respect to engagement, retention, and weight loss, but money and use of technology have been cited as program factors that might improve outcomes for this population. This study evaluated young adult performance in internet-based BWL (IBWL) offering financial incentives for self-monitoring and weight loss. Necrostatin 1S cost METHODS Participants (N = 180; BMI = 33.2 ± 6.0 kg/m2 ) were randomly assigned to a 12-week IBWL or IBWL + incentives (IBWL + $) group. This secondary data analysis compared young adults (ages 18-35) in IBWL (n = 16) with young adults in IBWL + $ (n = 12) on percent weight loss, engagement, and retention. Young adults (n = 28) were also compared with older adults (ages 36-70; n = 152) on these outcomes. RESULTS Young adult weight loss was -2.8% ± 5.2% in IBWL and -5.4% ± 5.7% in IBWL + $ (P = 0.23, partial η2 = 0.06). A greater proportion of young adults in IBWL + $ achieved a 10% weight loss compared with IBWL (42% vs.